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Paroisse Saint Joseph Malaunay Le Houlme

Paroisse Saint Joseph Malaunay Le Houlme
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Informations

En semaine :

Célébration de l’Eucharistie, les mercredis à 12h00 et les vendredis à 9h00, salle Saint Martin au Houlme.

Adoration du Saint Sacrement, les mercredis, de 11h à 12h00, église St Martin Le Houlme.

Prière du Chapelet, les jeudis, de 14h à 15h,  à Pissy Poville.

Archives
7 juin 2014

Homélie du 29 mai 14 Ascension

Cela aurait été surement plus simple si Jésus était resté avec nous. Il nous aurait aidé pour bien comprendre les Ecritures, la foi ne serait plus une question et la plupart des humains se seraient convertis. Ouf, un vrai souci de moins. Finalement, c’est un peu comme la création, pourquoi Dieu a-t-il donc fait l’homme libre ? Si nous étions programmés uniquement pour faire le bien, Il n’aurait plus de problème avec nous.

Sauf que aimer, ce n’est pas tout à fait cela, ce n’est jamais enfermer dans une cage aussi dorée soit-elle. Aimer c’est toujours susciter en l’être aimé l’émergence de sa vocation et l’aider à l’accomplir. C’est la mission qu’a confié le Père au Fils dans le Mystère de son Incarnation en Jésus. Parce que la vocation de l’homme, c’est d’entrer dans l’intimité du Père en passant par le Christ, par ce Christ Ressuscité, communion intime d’un corps d’homme ressuscité et du Fils. Si le Christ ne va pas jusque là, le chemin de notre vocation ne nous est pas ouvert. Cela voudrait dire que nous restons enfermés dans la précarité de nos choix et de nos œuvres. « A l’homme c’est impossible, mais à Dieu tout est possible. »

Nous sommes en plein travail d’enfantement, les neuf jours entre l’Ascension et la venue de l’Esprit sont comme les neuf mois de l’attente de Marie : un Avent, pour que l’un de la Trinité vienne en ce monde. A Noël, c’est le Fils ; à la Pentecôte, c’est l’Esprit. L’Ascension, c’est une fête de l’Espérance qui nous fait passer d’un temps à un autre, d’un monde à un autre, de la finitude à l’éternité en Dieu.

Mais l’éternité ce n’est pas ailleurs, ce n’est pas plus tard. C’est ici et maintenant, mais toujours avec un autre regard et c’est ce qui est le plus difficile. Dans l’Evangile de Matthieu, il semble bien que les disciples aient eu du mal à changer de regard : certains eurent des doutes. Pourquoi nous faire venir jusqu’en Galilée alors que nous sommes peut-être recherchés comme complices par ceux qui ont fait crucifier Jésus ? Ils n’ont pas encore assimilé tout l’enseignement que Jésus leur a donné pendant trois ans. Ils sont encore dans le besoin de certitude et leur cœur est lent à comprendre, comme le notre. Ils ne sont pas encore rentrés dans la folie du message que Jésus va leur demander de transmettre, message qui est l’œuvre de la Sagesse de Dieu. Il va falloir dire que Dieu, en Christ s’est communiqué aux hommes, pas seulement à un peuple particulier, celui de l’Alliance, mais à tous les hommes. Et il va falloir inviter ces hommes à entrer dans la communion d’amour divine qu’est la communion du Père, du Fils et du Saint Esprit.

« Tout pouvoir m’a été donné au ciel et sur la terre. Allez donc ! » N’imaginons pas que le pouvoir nous appartient. Marie Noëlle Thabut relate une conversation de Jean XXIII. Quelques jours après son élection, un ami lui dit : comme la charge doit être lourde ! Jean XXIII répond : « C’est vrai le soir quand je me couche, je pense, Angelo, tu es le Pape, et j’ai bien du mal à m’endormir ; mais au bout d’un moment je me dis, Angelo, que tu es bête, le responsable de l’Eglise, ce n’est pas toi, c’est le Saint Esprit… Alors je me tourne de l’autre coté et je m’endors ! » L’évangélisation doit être notre travail, pas notre angoisse si nous sommes vraiment dans la communion de l’Esprit du Christ. Christian de Chergé disait : « La fécondité de l’Eglise ne dépend pas d’abord de sa foi, mais de son amour : allez, aimez de toutes les nations, faites des disciples de l’amour. » Amen

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18 mai 2014

Calendrier mai juin 2014

10 mai

Mariage de Marjorie et Sébastien

Baptême de Jade et de Noé

Messe du 4éme dimanche de Pâques

15h00 Le Houlme

17h00 Le Houlme

18h30 Eslettes

11 mai

Messe du 4éme dimanche de Pâques

Baptême de Chloé et de Mélinda

10h30 Le Houlme

11h30 Le Houlme

13 mai

Réunion bilan du rassemblement des catéchismes du doyenné

19h00 Canteleu

14 mai

Groupe Bible, l’Islam

20h30 Le Houlme

15 mai

Réunion des catéchistes

20h30 Le Houlme

17 mai

Retraite de profession de foi

Baptême d’Apolline et de Maé

Messe du 5éme dimanche de Pâques

9h00/16h00 Le Houlme

17h30 Houppeville

18h30 Houppeville

18 mai

Messe du 5éme dimanche de Pâques

11h00 Le Houlme

21 mai

Commission jeunes du doyenné

20h30 Pavilly

22 mai

Groupe « Tous à la foi »

20h30 Maromme

24 mai

Retraite de profession de foi

Baptême d’Héloïse

Baptême d’Hugo

Messe du 6éme dimanche de Pâques

9h00/16h00 Le Houlme

16h30 Eslettes

17h45 Pissy Poville

18h30  Pissy Poville

25 mai

Messe du 6éme dimanche de Pâques

Baptême de Raphaël

10h30 Le Houlme

11h30 Le Houlme

28 mai

Groupe Bible

20h30 Le Houlme

29 mai

Messe de l’Ascension

10h30 St Jean

31 mai

Profession de foi

16h30 Malaunay

1 juin

Messe du 7éme dimanche de Pâques

Action de grâce des professions de foi

10h30 Malaunay

7 juin

Mariage de Justine et Pierre

Baptême de Gabin

Baptême de Timao

Confirmation des adultes

14h30 Eslettes

17h00 Le Houlme

18h15 Malaunay

20h30 Ste Jeanne d’Arc

8 juin

Messe de la Pentecôte

Baptême de Juliette, Emeric et Anatole

10h30 Le Houlme

11h30 Le Houlme

14 juin

Rassemblement du catéchisme

Mariage d’Aurélie et Anthony

Baptême de Mathis et Kalvin

Confirmation de jeunes du Doyenné

9h30 Le Houlme

16h00 Malaunay

17h00 Malaunay

18h30 Jumièges

15 juin

Messe de la Sainte Trinité

Baptême de Louise, Lara et Calie

10h30 Malaunay

11h30 Malaunay

19 juin

Réunion animation liturgique

20h30 Le Houlme

20 juin

Groupe « Tous à la foi »

20h30 Maromme

21 juin

Mariage de Bénédicte et Xavier

Mariage de Marine et Morgan

Liturgie de la Parole Fête du Saint Sacrement

15h00 Malaunay

16h30 Le Houlme

18h30 Houppeville

22 juin

Messe Fête du Saint Sacrement 1ére des communions

10h30 Le Houlme

18 mai 2014

Homélie des 10 et 11 mai 2014

Aujourd’hui, avec le texte de l’évangile, nous quittons les récits des apparitions de Jésus ressuscité, pour revenir au sens de sa mission, là où se trouve la compréhension du mystère pascal, de sa mort et de sa résurrection.

Dans l’évangile de Jean, nous avons la présentation des nombreuses discussions de Jésus avec les pharisiens. Certainement les communautés qui se rattachaient à Jean devaient avoir ce genre de querelles avec le monde juif. Nous avons la succession de deux paraboles que Jésus est amené à enchainer parce que la première ne suffit pas : « Ils ne comprirent pas ce qu’il voulait leur dire ».

Nous sommes juste après la guérison de l’aveugle-né. Jésus a du sortir précipitamment du Temple parce que les pharisiens voulaient le lapider et les mêmes ont jeté hors du temple l’aveugle-né guéri par Jésus pour ne pas avoir à reconnaître que ce dernier est un envoyé de Dieu. Ce que Jésus reproche aux pharisiens, c’est leur certitude que la seule manière de s’approcher de Dieu, c’est de respecter les règles de la Loi. Ils sont très pieux et ont une grande conscience de la puissance de Dieu, Dieu est le Tout-Autre mais il est très loin, dans un espace sacré auquel l’homme n’accède pas. Jésus veut leur montrer qu’au travers de lui, Dieu s’est fait le Tout Proche. Dieu s’est approché de nous et il ne veut rejeter aucun de ses enfants. La première des paraboles dit la relation de confiance entre les brebis et le berger : « elles le suivent car elles connaissent sa voix ». Comment suivre le Christ si on ne connaît pas sa voix, si dans l’écoute de sa Parole, on ne reconnaît pas quelque chose qui me concerne et qui vient murmurer à mon cœur. Il faut absolument sortir de la Loi, Jésus ne vient pas d’abord nous redire une morale, une série de commandements pour chaque heure de notre vie : il vient nous dire que le Père nous aime et qu’il nous veut heureux. Bien sur que pour être heureux il va falloir des règles de vie, parce que le vivre ensemble, avec ceux qui ne sont pas comme moi, qui réagissent de manière si déconcertante et qui parfois me font mal, ce n’est pas si simple. Et puis il y a toutes ces obscurités en moi qui m’empêchent d’avoir une relation claire avec l’autre. Jésus est venu pour faire disparaître tout ça. Notre passé, tout ce qui nous pèse, Dieu l’a enfoui dans le cœur du Christ sur la croix, il n’attend qu’une chose, que nous nous ouvrions à cet avenir qui est inauguré dans la nuit de Pâque : Christ est ressuscité. Alors nous pouvons vivre dans la justice, comme dit la lettre de Pierre, nous pouvons vivre ajustés à Dieu, dans sa Joie et dans sa Paix.

Mais pour cela, il nous faut vivre la conversion de notre cœur, il nous faut passer par la porte, il nous faut nous confier au Christ, nous abandonner à Lui. Thomas avait raison de vouloir mettre son doigt et sa main dans les plaies du Christ, mais pas seulement son doigt et sa main, c’est tout notre être qui doit passer par les plaies du Christ, pour que tout ce qui est en nous manque d’amour soit détruit dans sa mort sur la croix et qu’avec lui, nous ressuscitions.

Dans notre relation à Dieu, que nous connaissons vraiment au travers du Christ, nous devons tenir à la fois sa proximité et sa tendresse d’un coté et de l’autre sa sainteté et le fait qu’il soit le Tout-Autre, à la fois sa miséricorde et son appel à aller au-delà du raisonnable, au-delà de ce que nous imaginons être nos limites.

Et puis dans notre relation au monde, nous ne devons pas oublier que nous sommes envoyés pour lui dire que Dieu aime tous les hommes, que Christ a sauvé tous les hommes, c’est à nous qu’il appartient de faire entendre le son de sa voix. Par notre baptême nous sommes prophètes, l’Esprit parle par nos mots, même les plus maladroits.Amen

 

18 mai 2014

Homélie du 8 mai 2014

Le discours que Jésus fait aux juifs leur est totalement hermétique. Comment un homme peut-il dire que sa chair est le pain vivant qui doit être mangé pour accéder à la vie éternelle ? A vrai dire, c’est encore bien difficile à comprendre 2000 ans après.

Nous avons un peu perdu dans notre société d’abondance le sens du pain comme aliment de base. Nos habitudes alimentaires ont changé et les supermarchés regorgent de produits de l’industrie agroalimentaire diversifiés.

Mais des expressions sont encore présentes dans notre vocabulaire : gagner son pain ou gagner sa croûte, cela se comprend très bien. Les Hébreux perdus dans le désert ne pouvaient pas gagner leur pain, il a fallu qu’il leur soit donné pour qu’ils restent en vie. Pour eux, la relation pain – vie était évidente. La mission que le Père confie à Jésus est de faire revenir l’humanité dans la vie qui ne finit pas, dans l’intimité du Père, dans la communion du Père avec le Fils par l’Esprit. Pour assurer cette mission, Jésus va aller jusqu’à l’offrande de sa vie sur la Croix. C’est à ce moment là, que son corps humilié, déchiré, comme peut l’être tout homme confronté à la mort sauvage et absurde, est offert pour détruire, dans sa mort, tout ce qui éloigne l’homme de Dieu. Ce que Jésus nous dit, c’est qu’il faut faire un avec lui sur la Croix pour que ce qui n’est pas de l’ordre de l’amour en nous, soit détruit dans sa mort. Nous fêtons encore Pâques. A cause de cette offrande, le Père ressuscite Jésus, l’Alliance Nouvelle et Eternelle est conclue. Le corps de Jésus n’est plus un corps destiné à la mort, c’est un corps qui est entré dans l’intimité du Père. C’est ce que nous vivons par anticipation dans l’Eucharistie. Jésus nous donne sa présence pour nous faire participer dès aujourd’hui à cette intimité avec le Père au travers de lui. Et c’est très important qu’il l’ait fait au travers du signe du pain. Le pain, c’est le repas partagé. Cela veut dire que l’on ne reçoit jamais le pain eucharistique tout seul, c’est toujours en communion. L’eucharistie est un évènement d’Eglise, jamais un évènement individuel, parce que le corps mystique du Christ qui se constitue peu à peu, c’est la communauté humaine rassemblée dans une même espérance : que le monde ait la vie en abondance Amen

18 mai 2014

Homélie du 26 avril 2014

Pauvre Thomas. Que n’a-t-on pas dit de lui et de son incrédulité ? En fait il veut être comme les autres disciples. Eux aussi on eut besoin de voir, et même il va falloir plusieurs rencontres pour que la réalité de la résurrection de Jésus devienne une certitude. Nous avons lu toute la semaine ces récits des apparitions de Jésus. C’est souvent à des détails infimes que le Christ est reconnu : une voix, une intonation, un geste, une manière d’être. Des personnes qui l’ont côtoyé pendant des années ne le reconnaissent pas du premier coup. Nous aussi, nous ne reconnaissons pas toujours le Christ qui vient à notre rencontre dans tel évènement, dans telle personne, nous ne pensions pas qu’il pouvait avoir cet aspect là. Mais en relisant cette rencontre, cet évènement nous pouvons nous dire : à oui, dans cette parole, dans ces gestes, il était présent pour moi, pour nous. Nous sommes les jumeaux de Thomas, nous avons besoin de relire la matérialité des faits pour reconnaître le Christ.

Nous pouvons revenir au texte de Jean, en nous souvenant que les évangiles sont des catéchèses pour les premières communautés et jamais des histoires de Jésus. « C’était après la mort de Jésus, le soir du premier jour de la semaine. » Le premier jour de la semaine, donc le lendemain de shabbat, celui que nous appelons dimanche, au moment de l’écriture du texte, entre 50 et 70 ans après les évènements, les communautés chrétiennes se réunissent le dimanche pour célébrer la résurrection du Christ, comme les disciples. Les disciples étaient barricadés, comme les premiers chrétiens soumis à des campagnes de persécution. Et Jésus est venu. Il leur dit ces premiers mots : « la paix soit avec vous. » La présence du Christ et la paix sont intimement liées. Les moments d’intimité avec le Christ vécus dans la prière, dans l’oraison ou la contemplation sont des moments de paix, si l’agitation persiste en nous cela veut dire que le diviseur est aussi présent et qu’il va falloir le chasser. La vue du corps abimé, martyrisé du Christ ne provoque pas de l’effroi mais de la joie. C’est par ces plaies que nous sommes libérés de tout ce qui nous encombre et qui nous empêche d’être en communion dans l’amour du Christ. Ces plaies nous permettent la joie de la réconciliation. Mais cette paix, cette joie, ne sont pas faites pour être vécues en vase clos, dans un lieu renfermé qui sentirait bien vite le renfermé. « Je vous envoie, comme le Père m’a envoyé ». Vous êtes chargés de dire les béatitudes, vous êtes chargés de dire que les boiteux marchent, que les aveugles voient et que les sourds entendent. Vous êtes chargés de dire que dans sa résurrection Christ fait de tous les hommes des ressuscités. Et si vous ne le faites pas, il vous restera la responsabilité que des hommes restent éloignés de Dieu, c'est-à-dire que leur péché soit maintenu. Oui dans le Christ les hommes sont sauvés et il faut le leur dire. Et le souffle de l’Esprit nous est donné pour le faire. La paix qui nous est donnée, il nous faut la transmettre par ces paroles : « Vous êtes réconciliés avec Dieu. » Heureux seront ceux qui croiront cela sans avoir rien vu, heureux seront nous si nous voyons la paix surgir à coté de nous, dans ces choses insignifiantes qui ne concernent que quelques personnes, mais qui donnent tellement de sens à nos vies. « La paix soit avec vous. »

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18 mai 2014

Homélie du 20 avril 2014

Le psaume de l’office des Laudes de ce matin commence ainsi : « Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l’aube : mon âme a soif de toi. »

Une femme cherche, il fait encore sombre, la lumière ne s’est pas encore révélée. Mais ce qu’elle cherche, elle ne le trouve pas. Elle cherche un corps mort et elle se trouve face au vide, face à l’absence. Elle est désemparée. Peut-être les autres savent-ils ce qui est arrivé. Mais personne ne sait, Pierre ne comprend pas. Parce qu’il n’y a rien a comprendre. C’est l’autre disciple qui s’engage sur le bon chemin. Peut-être pas de façon aussi immédiate que nous le dit le texte, mais il se laisse interroger par les Ecritures, par la parole de Dieu confiée à son peuple, au peuple juif, alors peuvent s’ouvrir les yeux de la foi qui permettent de voir l’inespéré.

Après l’agitation du petit matin, il faut rentrer dans le temps du silence et se confronter au vide. Il faut rassembler et mettre en cohérence les pièces du puzzle. Il faut se remettre en mémoire les paroles entendues qui donnent du sens à ce non évènement pour que jaillisse la révélation. Personne n’a enlevé le corps du Seigneur. Personne. Il faut réentendre le psaume 123 : « Notre âme, comme un oiseau, s’est échappée du filet de l’oiseleur. » Jésus s’est échappé, il n’est plus captif de la mort. Pour que l’intuition devienne certitude de foi, il va falloir encore des rencontres, il va falloir l’expérience de Thomas et celle du lac de Tibériade, mais l’étincelle a jailli, la braise déjà rougeoie et la Parole va être transmise : « Frères, vous êtes ressuscités avec le Christ ! » Parce que ce n’est pas pour lui que Jésus est ressuscité, c’est pour nous, pour tous les hommes. Tout homme qui croit cela, reçoit par lui le pardon des péchés, c'est-à-dire tout homme est promis à paraître avec le Christ en pleine gloire, dans la communion avec le Père.

Nous n’aurons jamais fini de dire : merci Seigneur pour ce que tu nous appelle à vivre, ce que nous ne savons pas faire, ce que nous n’osons pas faire, nous te le confions. Tout cela est resté abandonné dans le linceul taché de sang, mais toi, et nous avec toi si nous le voulons, nous ne sommes plus dans le tombeau.  Amen

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